Après les incertitudes de la saison dernière, La Sportiva commence la nouvelle année en accueillant trois nouveaux grands noms internationaux dans l’équipe Mountain Running :
Mimmi Kotka, Jan Margarit et Alexis Sévennec.
Si 2020 ne restera pas dans les mémoires pour ses événements de course et ses grandes victoires, La Sportiva se tourne vers 2021 avec une énergie renouvelée et un nouveau regard. Cette saison, la coureuse d’ultra trail suédoise Mimmi Kotka, le jeune talent catalan Jan Margarit et le Français Alexis Sévennec, déjà membre de l’équipe de ski alpin, porteront les couleurs de La Sportiva sur les parcours des
principales compétitions européennes.
« Des sportifs de haut niveau qui, en plus de rendre l’équipe encore plus compétitive dans le monde des longues distances et des skyraces, contribueront à structurer un groupe de professionnels déjà soudé, hétérogène, tout en apportant une touche internationale, en ligne avec le positionnement de la marque. Une vague de fraîcheur et d’énergie qui nous servira à démarrer l’année du bon pied », affirme Matteo
Demicheli, responsable des athlètes dans le secteur de la course à pied.

Jan Margarit


Âgé de 23 ans, mais déjà connu dans le monde entier pour ses succès dans le trail, le Catalan Jan Margarit a fait ses débuts en 2015 en remportant la plupart des catégories Junior en Espagne. Spécialiste des skyraces, il a obtenu de grands succès aux Skyrunning World Series et son talent a été immédiatement reconnu par les grands noms de la discipline.
« Rejoindre l’équipe La Sportiva est grisant pour moi, car c’est une marque que j’ai toujours aimée. Aujourd’hui, j’ai la chance de représenter la marque et je veux en profiter au maximum. J’ai vraiment hâte de commencer ! »


Mimmi Kotka


Née et élevée dans la passion de l’aventure et du plein air, la coureuse suédoise Mimmi Kotka a commencé la compétition en 2014
dans le seul but de dépasser ses limites. Connue pour ses grandes victoires dans le monde de l’ultra-trail, dans des courses telles que la
CCC, la TDS, le Madeira Island Ultra-Trail et l’Ultra Pirineu, Mimmi va continuer à se surpasser en portant fièrement les couleurs de La
Sportiva.
« Mon envie de courir naît de la curiosité, de la possibilité que la course offre de dépasser ses limites physiques et mentales. La nature est l’environnement qui me permet de me ressourcer, mais je trouve ma plus grande motivation dans la communauté running. Quel que soit le niveau de préparation ou le résultat, chaque coureur court pour se défier, chacun est mis au même niveau, du premier au dernier. »

Alexis Sévennec


Skieur alpiniste français déjà membre de l’équipe La Sportiva pour la saison hivernale, Alexis Sevénnec est un athlète polyvalent, capable de
s’exprimer avec autant de détermination et d’enthousiasme sur les skis que dans la course en montagne.
« Quelle que soit la distance, ce sport m’offre tout ce que j’aime. Qu’il s’agisse d’un kilomètre vertical ou d’une skyrace, j’arrive toujours à me surpasser sur un terrain très technique, à profiter de vues incroyables et à rester en contact avec l’environnement. La Sportiva a toujours
représenté pour moi la quintessence du sport en montagne, une vision à 360 degrés. J’ai aujourd’hui la chance de porter ses couleurs lors de mes aventures hivernales et estivales. »


Depuis 1928, La Sportiva est au côté des amateurs de sports de plein air pour leur offrir le meilleur et les accompagner dans leurs aventures en montagne. La relation avec ses athlètes va au-delà d’un simple support technique. Dès le début, la rencontre entre les besoins des professionnels du sport et l’expérience de nos techniciens a permis à la marque trentine de concevoir et de développer des produits très
innovants. Un dialogue qui cette année encore va continuer en soutenant les idées et en répondant aux besoins de Mimmi, Jan et Alexis.
« Malgré les incertitudes présentes en ce début 2021, l’entreprise s’engage à soutenir ses athlètes et leurs objectifs », ajoute Matteo Demicheli, « dans l’espoir qu’une amélioration générale de la situation sanitaire permettra bientôt un retour en toute sécurité aux principaux événements de course à pied.»

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Julien Michelon, l’un des espoirs haut-alpins du trail français, vient d’achever douloureusement sa saison par le Golden trail championship organisé sur l’archipel des Açores. Un championnat mondial où il s’est qualifié grâce à sa 2e place sur l’Ubaye Salomon, derrière Thibaut Baronian. Un article paru dans le Dauphiné Libéré sous la plume de Pascal Haudicot.

De quoi s’agissait-il et comment avez-vous été sélectionné pour cet événement inédit aux Açores ?

« Il s’agissait des championnats du monde, aux Açores au milieu de l’Atlantique, en remplacement de la finale de la Golden trail series annulée à cause de la crise sanitaire. Il s’agissait d’un regroupement des meilleurs trailers mondiaux. Je n’avais jamais rencontré une telle densité. J’ai eu la chance d’y participer grâce à ma 2e place au trail de l’Ubaye Salomon en août derrière Thibaut (Baronian)»

Comment avez-vous vécu cet événement ?

« Je suis passé à côté à cause d’une blessure. Il m’a été impossible de prendre le départ de la 4e et dernière étape à cause d’une inflammation tendineuse à la jambe. D’ailleurs aujourd’hui, je ne peux toujours pas marcher normalement. »

En quoi consistaient ces épreuves ?

« Cela consistait en un prologue le premier jour de 3 km suivi de 4 jours de courses entre 25 et 30 km. »

Les conditions de course aux Açores sont difficiles en cette période. Qu’en a-t-il été réellement ?

« Non seulement on n’a jamais eu le beau temps, mais les conditions de courses disons-le, étaient exécrables ! On ne voyait pas à quelques mètres tellement il pleuvait et qu’il y avait de brume. C’était un déluge où je n’ai jamais réussi à m’adapter. On devait d’ailleurs changer d’île pour les épreuves, mais la météo était telle que l’organisation y a renoncé. On mettait parfois une heure pour parcourir 5 km ! »

• Boue, jungle, tunnels et ponts suspendus…

Comment étaient les surfaces ?

« Il y avait de la boue, une véritable bouillasse où on s’enfonçait parfois jusqu’aux genoux. On a progressé dans une véritable jungle où il fallait parfois grimper 1m50 en se hissant avec des branches au milieu du visage. Je me souviens m’être faufilé au travers de la végétation, avec des passages en tunnel, en traversant parfois des ponts suspendus ! J’ai surtout souffert dans les descentes tellement techniques. »

Et qu’en a-t-il été de votre performance ?

« Le 3e jour, j’ai réussi à remonter au général mais à quel prix ! Si bien que le dernier jour, c’était trop, j’ai lâché prise. Impossible de prendre le départ de la dernière étape. On a dû me bander la jambe pour rentrer. »

Comment expliquez-vous cette fin de saison ?

« Cette saison particulière a été exigeante. Je suis arrivé aux Açores déjà un peu émoussé avec un début de blessure. La dureté de la course a fait le reste ! Mais je ne regrette rien, J’ai beaucoup appris de cette épreuve, même si mon corps a lâché en allant au bout de moi-même. C’est la fin de saison, j’avais l’intention de couper de toute façon. »

Qu’en avez-vous retiré malgré vos déboires ?

« Cela restera une énorme expérience qui m’a permis de rencontrer beaucoup de gens. Cela m’a aussi éclairé aussi sur les points que je devrai travailler en vue de la prochaine saison. »

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Suite aux annonces du préfet du Rhône ce lundi 21 septembre concernant les nouvelles mesures restrictives pour tenter d’enrayer la propagation trop importante du virus dans l’agglomération lyonnaise, Lyon Urban Trail et le LUT by night, programmés le 31 octobre et le 1er novembre prochain, au départ de la Place Saint Jean, sont en conséquence annulés.

Photo Gilles Reboisson

Parmi ces nouvelles mesures restrictives, la réduction de la jauge de 5000 à 1000 personnes fait qu’à l’évidence, ce week-end Lyon Urban Trail, qui devait avoir lieu dans moins de 40 jours, ne pourra pas se dérouler dans ces conditions.

Cette annonce est un nouveau coup dur pour cet événement, les organisateurs et les événements sportifs lyonnais en général : « Nous y avons pourtant cru jusqu’au bout. Nous avons tout fait pour que cet événement puisse avoir lieu, après le 1er report du mois de mars, en adaptant nos jauges à 5000 personnes par jour. » précise Jean-Francois Cuinet, Président de Lyon Ultra Run, le club organisateur. « Nous avions notamment travaillé avec les services de la ville de Lyon afin de proposer un dispositif réaliste, qui puisse garantir la sécurité de tous. Hélas, nous prenons acte de cette nouvelle mesure de restriction annoncée hier par la Préfecture du Rhône, qui met fin à toute perspective d’organisation. »

Il s’agit bien sûr d’une une immense déception pour les plus de 7000 coureurs et randonneurs sportifs déjà inscrits sur les deux jours, l’ensemble des partenaires et les très nombreux bénévoles mobilisés depuis des mois dans la préparation de cet événement.

Les participants inscrits seront informés très prochainement par l’organisation des modalités concernant leur inscription.

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L’année dernière, l’athlète catalan du team International BUFF®, Pau Capell avait remporté l’UTMB en 20h19min 07secondes. Cette année, quand l’annonce de l’annulation est tombée, il était impensable pour lui de ne pas courir sur le parcours qu’il affectionne particulièrement. Pour 2020, il s’est donc lancé donc un challenge à sa mesure : battre son propre record et passer sous la barre des 20h. 

Photo Serge Moro

Dès cette annonce, BUFF® qui le suit depuis 2 ans maintenant, lui offre immédiatement son soutien. Logistique et humain. Pour Sergi Muñoz-Baiget, sport marketing coordinator, « L’accompagner dans ce projet était une évidence pour l’équipe de BUFF®. Nous construisons une aventure avec lui depuis 2 ans maintenant et la marque catalane partage avec lui de nombreuses valeurs, de performance, de ténacité et une volonté farouche d’avancer. Chaque ambassadeur qui vient nous voir avec un beau projet humain obtient notre support et c’était le cas dans cette envie de battre son propre record et de passer sous la barre des 20h. Mais pas uniquement. Ce projet s’accompagne également d’un support plus large avec notamment des valeurs environnementales fortes qui se traduisent par un soutien actif auprès de l’association POW (Protect Our Winters) sur cette collection UTMB 2020. Nous reversons 15% de chaque vente à l’association. Notre slogan, « Live more Now* » se reflète totalement au travers de ces actions. »

LES RAVITAILLEMENTS

Tout au long du parcours, l’équipe logistique qui suit Pau Capell est présente aux points de passage et de contrôles officiels de l’UTMB 2019. Une chaise et une couverture, une table pliante, confort spartiate, à l’arrière d’un van. Son régime alimentaire est surprenant, toujours identique, ou presque. Fromage blanc et miel. Riz blanc froid. Dattes et bananes. Fromage seul. Pain avec du jambon, chocolat ou du fromage. Billes de chocolat. Eau. Coca. Perrier. Ice Tea. Et à chaque fois il repart avec 2 flasques, l’une d’eau et l’autre de boisson énergétique. Les nutritionnistes doivent en avoir des haut-le-cœur ! Mais le plus important reste le plaisir que le coureur doit avoir lors du ravitaillement. C’est un moment de réconfort important. Ce qu’il mange doit faire plaisir au moral avant tout. Une course de cet acabit se gagne au mental.

LE RECIT DU PARCOURS

Aucune surprise pour l’athlète Buff® sur ce parcours. Il le connait presque par cœur et même si la nuit lui a joué des tours, se perdant à de multiples reprises, il connait toutes les difficultés du tracé. Parti sur l’exact parcours de l’UTMB 2019, il a attaqué fort dès le départ. Avant d’arriver sur Saint Gervais, il accélère, prenant de précieuses minutes sur son « spectre » de 2019. Xavier Thevenard et Seb Chaigneau sont là, attentifs, l’encourageant. Aux Contamines (1 581m D+ // 31km parcourus depuis le départ), il est en avance de quelques minutes sur son temps de référence. Notre Dame de la Gorge, kilomètre 35, les derniers rayons du soleil ont disparu et les frontales s’allument. Celles de ses supporters, ses amis, sa famille et ses sponsors. On compte encore une cinquantaine de personnes qui l’encourage « Go go go PAU ! ». Il est toujours en avance. Les premières vraies difficultés, arrivées avec la nuit, lui feront puiser au bout de lui-même la ressource nécessaire pour ne pas lâcher son avance. Le col de la Croix du Bonhomme en ligne de mire et ses 2 412m, puis viendra le col de Seigne à 2 516m. Toute la nuit il maintient le rythme. 2h30 du matin, Courmayeur (4 600m D+ // 78km parcouru depuis le départ). Le ravitaillement est plus long et la foule des journalistes et suiveurs surprenantes. Ambiance flashs, caméras et foule des grands jours. Massage, encas et réconfort. Il repart, la foulée rapide et le regard toujours aussi déterminé. Il ne lâche rien durant la nuit, garde sans cesse ses bâtons. Aux premières lueurs de l’aube, son avance s’est pourtant réduite. 6h30, La Fouly, 109km de course. Lever de soleil. La descente est intense, il survole les difficultés, semble voler mais au prix d’un effort intense. La dernière montée avant le prochain ravitaillement lui coûte cher en énergie. Champex-Lac. Le calme matinal des bords du lac est troublé par les supporters, toujours présents. Les cris d’encouragement résonnent dans la montagne et les cloches des supporters #Breaking20 réveillent ceux qui s’étaient assoupis. Le champion arrive. Pau est plus fatigué. La nuit a sans doute été dure, intense. Ravitaillement court. Pas plus de 5’ de repos. Le visage est marqué physiquement. La foulée plus lourde, moins légère. Mais il tient. Il est en retard sur ses plans pour passer sous les 20h. Mais il est encore en avance pour battre son propre record de 2019. Son équipe et son coach sont à ses côtés, l’encouragent, l’accompagnent. Il reste encore 42km à avaler. Un marathon. Mais « des bosses » qui n’ont rien de roulantes. La partie est loin d’être gagnée. Col de Forclaz (1 527m). Le regard rivé sur le sol, concentré, marqué, il arrive. Ses chances de passer sous la barre des 20h sont définitivement envolées. La descente. Trient, 140km de course et déjà plus de 8 234m de dénivelés positifs. Retard. Même s’il paraît mieux, plus frais, les temps de référence tombent. Impitoyables. Battre son propre record de 2019 ? Il est encore en course. Vallorcine. 5ème et dernier ravitaillement. La dépression météo prévue à partir de 14h a pris de l’avance, elle. Une pluie lourde s’abat sur les supporters, plus nombreux, qui l’attendent. Il accuse encore plus de retard que lors du dernier check-point de Trient. Les chances de record semblent s’envoler. La météo n’aide pas. Mais le champion est encore là. Solide mais fatigué. Il sourit un peu aux mots de réconfort de son équipe. Il se bat, reste dans la course à l’amorce du Col des Montets. Dernières difficultés. Il est épaulé, suivi par toute son équipe qui l’accompagne. Jusqu’à la ligne. 14h sonne au clocher de l’horloge de Chamonix. La pluie lourde s’est mise à tomber. Ambiance un peu de fin de monde. L’orage tonne. La foule est là quand même. Aux aguets. Masques sur les visages et capuches relevées. Même si sur les réseaux sociaux officiels de Pau Capell et de ses sponsors, on appelle les supporters à suivre le live plutôt que de se déplacer. D’éviter les rassemblements à l’arrivée. Le Covid est présent. Difficile de respecter les distances tant on a envie de voir le catalan à l’arrivée. De le féliciter malgré tout. Il n’aura pas réalisé l’exploit attendu, passer sous la barre des 20h. Il n’aura pas n’ont plus réussi à battre son propre record de 2019. Mais il réalise tout de même un immense exploit. Celui d’avoir bravé les difficultés, d’avoir été au bout de son rêve. Prendre le départ de son UTMB. Seul. Bravo Pau Capell de nous avoir fait rêver cette année encore !

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Jusqu’au 15 septembre, les sentiers de Grande Randonnée auront une place privilégiée sur Strava. En collaboration avec la FFRandonnée, le réseau social des sportifs déploie un dispositif d’envergure, avec pour objectif de sensibiliser sa communauté et de l’encourager à prendre part à la préservation des GR® qui quadrillent l’hexagone de sentiers d’exception sécurisés, des littoraux bretons aux plus hauts massifs. Une belle occasion de découvrir ou de redécouvrir ces chemins balisés de rouge et blanc, synonymes d’aventure, souvent à deux pas de chez soi. Que ce soit à pied, en courant ou à vélo, Strava ouvre de nouveaux horizons pour clôturer l’été.

Chemins d’aventures par excellence, il était naturel pour Strava de rendre hommage aux GR® et de valoriser la place qu’ils tiennent dans nos excursions d’un jour ou de plusieurs semaines ainsi que sur l’importance de leur préservation. Pour ce faire, Strava propose à sa communauté de s’engager au travers du challenge GR® – chemins d’aventures à compléter en effectuant au moins 10 heures d’activités sur des sentiers de Grande Randonnée. Si ce challenge permettra de décrocher un badge exclusif, il a avant tout pour objectif de promouvoir le travail de terrain effectué par les équipes de la Fédération Française de Randonnée Pédestre et de soutenir un appel aux dons pour les aider à préserver ce patrimoine national.

En plus de contenus exclusifs sur l’histoire des GR® et une sélection des 15 itinéraires mythiques à ne pas manquer, Strava propose également un traitement graphique des cartes pour les athlètes. Pour l’activer sur son activité, il suffit d’inclure dans le titre et/ou description d’activités les mots clefs suivants: GR, GR®(+numéro), (numéro)GR, Grande Randonnée, Sentier de Grande Randonnée, Grande Traversée, Tour du Mont-Blanc, Chemin de Stevenson, GR, TMB, GTV, GR®.

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Après 10 ans d’existence, dont 3 sous le nom de « Eric Favre Sports Team Trail », place au TEAM ESPRIT VOLCANS et EVADICT, regroupant  les athlètes :

  • Sandy PAULET – Côte ITRA 659 (Recrue 2020)
  • Romain MAILLARD – Plusieurs sélections Equipe de France de Trail – 7e en 2018 aux Championnats du Monde de Trail – Côte ITRA 868
  • Patrick BRINGER – Plusieurs sélections Equipe de France de Trail, 2 fois 3e des championnats du monde de Trail – Côte ITRA 849
  • Fabien DEMURE – Plusieurs sélections Equipe de France de Course de Montagne, Côte ITRA 852
  • Alexandre DEPECHE – Côte ITRA 830
  • Benoit CRETIEN – Côte ITRA 824
  • Alexandre VIOLLE – Côte ITRA 766 (Recrue 2020) – Communication
  • Yoan MEUDEC – Côte ITRA 826 – Manager

Avec pour staff : Philippe GIGNAC (Ostéopathe) et David PELLABOUT (Logistique)

Et pour partenaires :

  • La commune de Royat, l’une des premières portes d’entrée des Volcans d’Auvergne, dispose d’un atout fabuleux pour les sportifs, avec le centre thermoludique de Royatonic.  Relaxation, récupération après une belle sortie nature ou en prévention de blessure, pour garder une pratique plaisir durable. Une étude de la faisabilité d’un nouveau format/concept de « parc trail » sur le  fabuleux site de Gravenoire, dédié à la pratique et à la découverte pour les plus jeunes est aussi en cours.
  • La nouvelle marque « Trail » de Decathlon EVADICT est leur nouveau partenaire global sur les parties textile, chaussures et bagagerie. Une nouvelle marque qui s’engage elle aussi dans la préservation de la nature, par une évolution de sa gamme de produits éco-conçus et en travaillant sur le développement de leur durabilité.
  • Le Conseil Départemental du Puy de Dôme
  • Le Parc des Volcans d’Auvergne

Crédit Photo : Pascal Rudel

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Xavier Thévenard termine le parcours du GR20 après 32 heures et 32 minutes de course. Il n’a pas battu le record détenu par François D’haene en 31 heures et 6 minutes, mais officialise tout de même le 3ème meilleur chrono. Au-delà de ce défi sportif, c’est avant tout une aventure humaine pour le Jurassien amoureux de la nature et des grands espaces : « Je me suis bien senti sur toute la première partie de la course qui est bien technique, j’ai pris un coup de chaud dans l’après-midi, et la fin de parcours est devenue très difficile.C’était une belle expérience de partage avec toute la communauté trail de Corse, un super souvenir. » conclut-il.

Crédit photo : Ben Becker
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Ce lundi, à 4 heures, le Jurassien Xavier Thévenard, 32 ans, s’est élancé sur le mythique GR 20 qui traverse la Corse du nord au sud sur 180 km (13 000 m de dénivelé positif). Objectif du coureur Asics : battre le record détenu depuis juin 2016 par François D’haene, en 31h06’.

Photo Ben Becker

Xavier Thévenard, déjà vainqueur de quelques-unes des plus grandes classiques mondiales de trail (Ultra Trail du Mont-Blanc à trois reprises, Trail des Templiers, Ultra Trail du Mont Fuji etc.), a attaqué son nouveau défi, ce lundi 6 juillet, à 4 heures du matin. En plein cœur de la nuit, une trentaine de supporters sont venus à l’oratoire Saint-Antoine de Padoue de Calenzana, au nord-ouest de l’île de beauté, pour l’encourager. Un compte-à-rebours du responsable de la Fédération Française de la Montagne et de l’Escalade (FFME), seule habilitée à valider les records, avant d’enclencher les chronos et très vite, seuls le souffle des coureurs et le bruit de leurs bâtons sur les pierres pour interrompre le silence de la nuit. Et pour éclairer les premiers kilomètres de ce GR 20 qui fait rêver les randonneurs et coureurs du monde entier, la lune encore presque pleine était venue en renfort des frontales avant que le soleil ne prenne le relais.

Photo Ben Becker

Pour cette tentative de record, les conditions devraient être optimales avec un terrain sec, un vent modéré et un grand soleil. Seule la chaleur, avec des températures proches de 30 degrés, pourrait venir compliquer la quête de Xavier, très heureux de se lancer dans cette aventure. « C’est un parcours qui fait très envie, confie-t-il. C’est montagnard donc ça me correspond bien. Il faut rester vigilant et lucide, notamment sur la première partie car il y a beaucoup de cailloux. La vigilance, la lucidité, la fluidité seront essentielles. C’est une nouvelle aventure qui commence et ça y est, on y est. Y a plus qu’à… ». Pour l’accompagner, 30 « pacers », dont 27 coureurs locaux, vont se relayer régulièrement tout au long du parcours par groupes de 3 ou 4. Objectif : boucler les 180 km jusqu’à Conca, point final du GR 20 au sud-est de la Corse, avant demain mardi, 11h06.

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Martin Kern, Greg Curmer et Baptiste Robin ont réussi à détrôner le record jusqu’alors détenu par le prestigieux trio composé de François d’Haene, Michel Lanne et Thomas Véricel en 2011 (en 37h51’39) : 31h45’13’ pour rallier Chamonix à Briançon est le chronomètre validé pour les 3 athlètes qui ont parcouru les 202 km de ce GR5, en cumulant plus de 12 500m de dénivelé positif. Un record inscrit ce jour, dimanche 5 juillet. 
Photo Benjamin Curmer
«  Une aventure de dingue, très longue et difficile! Mais un réel moment de partage et une immense joie à l’arrivée, car non seulement nous avons battu le record mais surtout parce que nous avons réussi à surmonter beaucoup de moments difficiles, ensemble. Nous avons beaucoup parlé, nous nous sommes soutenus tout au long du parcours. Pour ma part, je me suis senti super bien globalement sur toute la traversée », déclare Martin Kern.
Photo Simon Dugué

Martin rajoute, «  Les moments les plus durs ont surtout été pendant la nuit, il y a eu une grande session de bitume, très longue. Puis Baptiste a eu faire face à quelques problèmes de digestion.
Il fallait qu’on le soutienne, qu’on l’épaule, que l’on soit là pour lui pour réussir à poursuivre l’aventure. Il a été un véritable warrior, en plus il n’avait jamais fait plus de 120 km, c’est incroyable !  Dès le début de l’aventure, à Chamonix, à 4h du matin, il y avait une trentaine de personnes pour nous soutenir et sur l’ensemble du parcours, nous avons reçu beaucoup d’encouragements.
Un grand merci à la superbe assistance qui nous a suivis tout au long de l’aventure » 

Photo Simon Dugué
La grande traversée des Alpes, un itinéraire d’exception
« Rester soudés » a été le leitmotiv pour réussir à rallier Chamonix à Briançon et passer sous la barre des 37 heures, avec un esprit de cordée en semi-autonomie. 
 Quelques chiffres clés …
Un départ samedi 4 juillet à 4 heures du matin 
3 coureurs, 1 assistant par coureur,
une équipe de production de 3 personnes
Un entraînement de 20 à 30 heures par semaine (trail et vélo)
Un sac à dos de 7L de 3kg par athlète (veste Gore-tex, t-shirt de rechange, pantalon de pluie, paire de gants, bonnet, 1L d’eau et nourriture)
5 ravitaillements.
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©Damien Rosso – Grand Trail de Serre-Ponçon
Guidé par les valeurs de l’ITRA que sont le fair-play, l’équité, le respect des autres et de soi-même, et en réponse à la crise mondiale du COVID-19, l’équipe dirigeante de l’ITRA a décidé de geler temporairement le calcul de l’indice de performance pour la période allant du 1er mars 2020 au 1er janvier 2021.

Pour rappel: L’indice de performance (IP) de l’ITRA est calculé sur la base des 36 derniers mois, les résultats les plus récents ont une valeur plus importante que des résultats plus anciens (pour plus d’informations sur l’IP de l’ITRA, cliquez ici)

Avec l’annulation d’une grande majorité des courses pendant cette période, les coureurs ne peuvent pas participer à des courses afin de maintenir ou d’améliorer leur IP. Si l’IP n’était pas gelé, nous verrions une diminution de l’IP pour tous les athlètes, peu importe leur niveau.
En gelant l’IP pendant cette période d’incertitude, nous espérons ainsi :Ne pas désavantager les athlètes qui ne peuvent pas courir ou s’entraîner en raison de circonstances indépendantes de leur volonté.Ne pas avantager les athlètes qui se trouvent dans des zones non touchées.Ne pas mettre de pression sur les coureurs, susceptibles de recommencer à s’entraîner et à courir trop tôt alors que les conditions sanitaires sur le court terme restent inconnues.
Le mardi 12 mai, votre indice de performance ITRA reprendra la valeur qu’il possédait au 1er mars 2020.Votre IP ITRA conservera donc cette valeur jusqu’à la réouverture de l’indice, en janvier 2021.
Concernant les courses ITRA terminées pendant la période de gel :Les scores seront calculés mais ne seront PAS pris en compte dans le calcul de l’indice de performance.Les scores seront inclus lorsque l’IP sera recalculé en janvier 2021.
Pour consulter la FAQ concernant ces changements, veuillez consulter l’article complet.
POUR LIRE L’ARTICLE COMPLET, CLIQUEZ ICI
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